Vaudouisme et esoterisme : decouverte / comment faire de la magie noire



La difficulté du sujet ainsi que la variété de ses expositions conduisent à l'analyser d'après de nombreux voies d'accès : étymologie, définitions, origines, images, types.

Le mot ésotérisme est d'origine grecque et, à l'époque antique, nommait classiquement des éducations réservés à un petit nombre d'initiés, particulièrement au sein des mystères, entre autres les mystères de Éleusis.

Le terme ésotérisme a été exploité, en occident, pour désigner des éducations ainsi que des courants, qui, dans le christianisme, ils appartenaient à des milieux fermés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et rassemblés sous la dénomination globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On utilise également cette dénomination, dans ce cadre, en ce qui concerne les écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre aussi la dénomination d'écrits théosophiques. Ce dernier élément devrait être discerné de la société théosophique, mouvement actuelle fondée par madame blavastky. Et dont le caractère ésotérique est contesté par certains auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.





L'ésotérisme utilise le symboles. Ces derniers sont empruntés à la tradition aussi bien que à la nature. La fonction de l'emblème dans l'ésotérisme est de signifier autre chose que le sens matériel, en affichant soit un sens profond soit une illustration approchée d'une expérience spirituelle.

On peut citer, comme symboles généralement exploités dans diverses cultures ésotériques : le pentagramme, empruntés à la géométrie, le nombre d'or aux valeurs magiques et mystérieuses ou le chiffre pi, pris aux mathss, mais aussi des animaux à grande charge symbolique, tels que le serpent, le crapaud, des fleurs fortement évocatrices, comme la rose.