Dans le judaïsme, les enseignements de nature ésotérique sont regroupés sous la dénomination de kabbale.

Le terme ésotérisme est d'origine grecque et, dans l'antiquité, avait désigné classiquement des éducations destinés à une petite quantité de pratiquants, particulièrement dans les mystères, par exemple les secrets de Éleusis.

Le mot ésotérisme fut utilisé, en occident, afin de désigner des éducations ainsi que des mouvements, qui, au sein de l'église chrétienne, ils étaient à des environnements fermés qualifiés, pour la même raison, d'obscurs et rassemblés sous la dénomination générale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On emploie également cette dénomination, dans ce contexte, à propos des écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre aussi la dénomination d'écrits théosophiques. Ce dernier aspect doit être différencié de la société théosophique, mouvement actuelle fondée par madame blavastky. Et dont le caractère obscur est contesté par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.

Dans la religion juive, les éducations d'ordre ésotérique sont rassemblés sous le nom de kabbale.




société théosophique

Elle compte parmi ses plus importants membres charles leadbeater, mme arundale, madame besant, rudolf steiner et monsieur jinarajadasa.
En dépit d'un certain nombre de récessions et de schismes, la gestion reste là sur tous les continents et détient des services nationales au sein d'une cinquantaine d'états. Elle est actuellement présidée par mis burnier.

histoire de la société théosophique

La société théosophique se présente donc :

Le précepte théosophique repose au départ sur l'éducation allégué de deux mahatmas indiens connus sous les noms de moryah et koot hoomi ( k.h. ), avec qui helena blavatsky affirmait être en contact