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Le terme ésotérisme est utilisé en ce qui concerne la religion islamique pour désigner le soufisme, combiné de dogmes de nature cachée et d'initiation dans cette religion. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens global, est nommé plus globalement le tasawuf : le soufisme apparaît donc telque la formulation coranique du tasawuf.

Dans le judaïsme, les enseignements d'ordre ésotérique sont regroupés sous la dénomination de kabbale.



mystères de Éleusis
Dans la religion grecque primitive, les mystères de Éleusis faisaient partie d'une croyance à mystères, d'ordre obscur, effectué dans le sanctuaire de déméter à Éleusis ( à vingt km au sud-ouest d'athènes ). Ils sont pour déméter et son enfant perséphone.


D'après la mythologie grecque, hadès enleva perséphone, au cours d'une cueillaison de fleurs dans les herbages d'enna ( sicile ), pour la marier et en faire la reine des enfers. Les cultures stoppèrent d'augmenter dans les domaines alors que déméter parcourait le monde cherchant son enfant. Un jour, alors qu&rsquqqqqo;elle se balladait sur les terres de grèce sous les aspects d'une vieille clocharde, elle accéda à la cité de Éleusis et demanda l'hospitalité. Les citoyens l'accueillirent généresement et, en gratitude, la déesse divulgua sa vraie identité et récompensa ses protecteurs : elle leur révéla ses mystères et le contrôle de l'agriculture.

Déméter retrouva perséphone qui ne put être entièrement libérée des enfers, puisque ceux qui se nourrissent du repas des décédés ne peuvent revenir chez les vivants et que perséphone avait mangé sept pépins de la grenade offerte par hadès. Zeus décréta néanmoins que perséphone ferait la moitié de l'année sur terre avec sa mère et le reste du temps en compagnie d'hadès.

L'acteur principal de cette religion se construisait auprès de la réculte du blé et le cycle vie entreposage–semis–renaissance des cultures. Comme la divulgation des rites était strictement défendue et que pas un auteur n'a trahi ce mystère, pas un écrit ne documente avec finesse les rites.

le cantique d'homer à déméter est la principale source de messages sur les rituels.

Annuellement, il y avait deux célébrations des secrets de Éleusis : les grands mystères et les petits mystères. Ceux-ci avaient communément lieu durant le printemps. C'était à ce moment que les prêtres purifiaient les mystes et que l'on tuait un cochon à déméter.

Les grands secrets avaient duré neuf jours, d'après la durée de l'errance de déméter à la recherche de sa fille. Durant septembre, avant l'automne, on se préparait aux fesitivités préliminaires qui se fesaient à l'extérieur et qui sont donc mieux documentées. La 1ere partie du rite débutait par un cortège pendant laquelle on déplaceait des saintes reliques jusque à athènes pour les mettre dans le Éleusinion, un asil au point de départ de l'acropole. Dans le télestérion, après avoir cassé le jeûne en mangeant le kykéôn ( repas à base de blé ), le rite pot aux roses d'initiation se faisait et les mystes recevaient des révélations des initiés et pénétraient dans le bonjour et à la vie après la mort.

Tous parlait le grec et n'avait pas réalisé d'homicide était admissible à contribuer aux rites. Les participants étaient constitués : des mystes qui y participaient pour une 1ere fois pour y être initiés, des mystes initiés y revenant une deuxième fois pour passer à un niveau supérieur, les époptes qui avaient atteint ce niveau et les hommes religieux qui présidaient aux rituels. L'archonte-roi d'athènes était le surintendant de la cérémonie. La plupart des empereurs romains se feront par ailleurs initier à ces mystères.