Dans la religion juive, les éducations de nature obscur sont regroupés sous le nom de kabbale.

Le terme ésotérisme fut exploité, en occident, pour nommer des formations ainsi que des mouvements, qui, dans l'église chrétienne, ils appartenaient à des cercles fermés nonnés, pour la même raison, d'ésotériques et regroupés sous la dénomination globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On utilise également cette dénomination, dans ce contexte, en ce qui concerne les documents de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre aussi le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier point devrait être discerné de la société théosophique, mouvement d'aujourd'hui fondée par madame blavastky. Et dont l'aspect obscur est refusé par beaucoup d'auteurs, parmi lesquels rené guénon1.


Le mot ésotérisme est utilisé à propos de l'islam en vue de désigner le soufisme, ensemble de préceptes de nature cachée et d'initiation au sein de cette religion. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens global, est nommé plus généralement le tasawuf : le soufisme se montre donc comme la formulation islamique du tasawuf.


Le taoïsme, entre autres dans son apparence concernant la quête de vie éternelle, est aussi vu comme étant de nature ésotérique.



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Les métaphores, les comparaisons, tels que les dessins, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf historique et plein, d'un labyrinthe, d'une vache...