Le esoterisme : technique envouter
Le mot ésotérisme fut exploité, en occident, en vue de désigner des formations toutes les courants, qui, dans le christianisme, ils étaient à des milieux cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et rassemblés sous la dénomination globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On utilise également cette dénomination, dans ce cadre, en ce qui concerne les documents de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également la dénomination de rédigés théosophiques. Ce dernier terme doit être distingué de la société théosophique, mouvement d'aujourd'hui fondée par mme blavastky. Et dont le caractère obscur est contesté par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.
Le terme ésotérisme est exploité à propos de l'islam pour désigner le soufisme, ensemble de dogmes de nature cachée et d'initiation dans cette croyance. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens global, est appelé plus globalement le tasawuf : le soufisme apparaît donc telque la formulation islamique du tasawuf.
secrets de Éleusis
Dans la croyance grecque antique, les secrets de Éleusis faisaient partie d'un culte à secrets, de nature ésotérique, réalisé dans le temple de déméter à Éleusis ( à 20 km au sud-ouest d'athènes ). Ils sont dédié à déméter et son enfant perséphone.
D'après la mythologie de la grèce antique, hadès ôta perséphone, durant d'un ramassage de fleurs dans les pâturages d'enna ( sicile ), pour l'épouser et en faire la reine des enfers. Les récoltes cessèrent d'augmenter dans les champs alors que déméter parcourait le monde recherchant sa fille. Un jour, tandis qu&rsquqqqqo;elle se balladait sur les terres de grèce sous les traits de d'une vieille vagabonde, elle entra dans la cité de Éleusis et demanda l'abri. Les compatriotes l'abritèrent avec grosse générosité et, en gratitude, la déesse révéla sa véritable identité et récompensa ses bienfaiteurs : elle leur divulgua ses mystères et le contrôle de l'agriculture. L'acteur principal de ce culte se construisait autour de la culture du blé et le cycle vie entreposage–semis–renaissance des récoltes. Tous les adeptes épargnaient les mystères de l'église et présumaient solidement qu'ils connaîtraient eux également une vie à la mort en raison de leur initiation à ces secrets.
l'hymne d'homer à déméter est la principale source d'informations sur les rituels.
Les grands secrets demeuraient 9 jours, d'après le temps de vagabondage de déméter recherchant son enfant.
N'importe qui parlait le grec et n'avait pas réalisé d'homicide était admissible à participer aux rituels. Les collaborants se constituaient : des mystes qui y participaient pour une 1ere fois pour y être initiés, des mystes initiés y revenant une deuxième fois en vue d'aller à un niveau au dessus, les époptes qui avaient atteint ce niveau et les prêtres qui dirigeaient aux rituels. Au sein de ceux qui avaient piloté la cérémonie, on trouvait quatre ministres : l'hiérophante , le dadouque ( chef des lampadophores ), l'hiérocéryce ( chef des hérauts sacrés ), et l'aidant ( dont la tenue vestimentaire représentait l'astre de la nuit ). L'archonte-roi d'athènes était le surintendant de la cérémonie. Le rituel était aussi dirigée par une armée de ministres moins importants répartis en plusieurs classes. La plupart des empereurs romains se feront d'ailleurs initier à ces secrets.