Le esoterisme : apprendre ; parfum magie noire
Le terme ésotérisme est d'origine grecque et, à l'époque antique, nommait classiquement des formations destinés à un petit nombre de pratiquants, notamment dans les secrets, par exemple les mystères de Éleusis.
Dans le judaïsme, les enseignements de nature ésotérique sont regroupés sous la dénomination de kabbale.
Le taoïsme, entre autres dans son aspect touchant la recherche d'immortalité, se trouve même considéré comme se trouvant d'ordre obscur.
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Les métaphores, les analogies, tels que les coups de crayon, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf originel et plein, d'un labyrinthe, d'une perle...
Guénon a son image de marque préférée : l'écorce et le coeur. Ce sujet, qui est celui d'un des nombreux étudiés de mohyiddîn ibn 'arabî, il formule sous un type symbolique les rapports de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés respectivement à l'enveloppe d'un fruit et à son élément interne, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce ( el-qishr ) il s'agit de la sharî'a, c. A. D. La loi religieuse extérieure, qui concerne tous et qui est effectuée pour être suivie par tout le monde. Le coeur ( el-lobb ), il s'agit de l'haqîqa, c'est-à-dire la réalité ou la vérité indispensable. Dans un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont aussi désignées réciproquement comme l''corpse ( el jism ) et la 'moelle' ( el-mukh ), dont les rapports sont parfaitement les mêmes que ceux de l'écorce et du coeur ; et sans nul doute pourrait on trouver encore d'autres signes synonymes à ceux-là. Ce dont c'est, sous certaine désignation que ce soit, c'est toujours l''extérieur' ( ez-zâhir ) et l''intérieur' ( el-bâtin ), c-à-d l'apparent et le caché.