Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, pour désigner des enseignements ainsi que des courants, qui, dans le christianisme, ils appartenaient à des atmosphères fermés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et regroupés sous l'appellation générale d'ésotérisme catolique auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien.

Maintenant, et en occident, le terme ésotérisme a été étendu à un chiffre colossal de courants, dont, notamments, la sorcellerie, mais l'utilisation de ce mot à ces thèmes a été refusé par des auteurs, notamment rené guénon.

D'un autre côté, beaucoup de mouvements sectaires s'appuient sur des contenues à teneur obscur.


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Les métaphores, les comparaisons, comme les dessins, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf originel et plein, d'un château, d'une perle...

Guénon a son image de marque penchée pour : l'écorce et le coeur ( el-qishr wa el-lobb ). Ce sujet, qui est celui d'un de ceux étudiés de mohyiddîn ibn 'arabî, il exprime sous un type allégorique les comptes rendu de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés respectivement à l'enveloppe d'un fruit et à sa partie intérieure, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce ( el-qishr ) il s'agit de la sharî'a, c. A. D. La loi cléricale extérieure, qui concerne tous et qui est effectuée en vue de être suivie par tout le monde. Le coeur ( el-lobb ), il s'agit de l'haqîqa, c-à-d la réalité ou la réalité essentielle. Sur un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont également désignées respectivement tels que l''corpse ( el jism ) et la 'moelle' , dont les rapports sont complètement les mêmes que ceux de l'écorce et du coeur ; et sans doute trouverait-on encore d'autres symboles équivalents à ceux-là. Ce dont il s'agit, sous certaine désignation que ce soit, c'est toujours l''extérieur' ( ez-zâhir ) et l''intérieur' ( el-bâtin ), c-à-d le visible et le caché.