Dans la religion juive, les enseignements de nature ésotérique sont rassemblés sous la dénomination de kabbale.

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Les métaphores, les analogies, comme les dessins, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf originel et plein, d'un château, d'une vache...

Guénon a sa réputation penchée pour : l'écorce et le coeur ( el-qishr wa el-lobb ). Ce thème, qui est celui d'un des nombreux étudiés de mohyiddîn ibn 'arabî, il énonce sous un type symbolique les rapports de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés respectivement à l'enveloppe d'un fruit et à son morceau intérieure, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce ( el-qishr ) il s'agit de la sharî'a, c. A. D. La loi théologique extérieure, qui concerne chacun et qui est réalisée afin de être accompagnée par tous. Le noyau , il s'agit de l'haqîqa, c. -à-d. La réalité ou la vérité essentielle. Sur un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont également nommées réciproquement comme l''corpse ( el jism ) et la 'moelle' , dont les rapports sont exactement les copies conforme que ceux de l'écorce et du noyau ; et sans doute pourrait on trouver encore d'autres emblèmes synonymes à ceux-là. Ce dont il s'agit, sous certaine désignation qu'il s'agisse, c'est toujours l''extérieur' ( ez-zâhir ) et l''intérieur' , c. -à-d. L'apparent et le caché.