La dénomination esôterisme appartient au grec démotique.
L'adjectif obscur émerge, en français, en 1752, dans le supplément du dictionnaire de trévoux : Ézotérique, adj. Ce qui est obscur, caché, et peu commun.

Le mot ésotérisme est de provenance grecque et, dans l'antiquité, avait désigné classiquement des enseignements destinés à une petite quantité d'initiés, spécialement dans les mystères, entre autres les mystères de Éleusis.



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Les métaphores, les analogies, tels que les dessins, les peintures ils parlent de l'ésotérisme comme d'un œuf historique et plein, d'un château, d'une vache...

Guénon a sa notoriété penchée pour : l'écorce et le noyau. Ce thème, qui est celui d'un de ceux traités de mohyiddîn ibn 'arabî, il exprime sous un style symbolique les bilans de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés réciproquement à l'enveloppe d'un fruit et à sa partie intérieure, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce ( el-qishr ) c'est la sharî'a, c. A. D. La loi théologique extérieure, qui s'adresse à tous et qui est faite en vue de être accompagnée par tous. Le coeur ( el-lobb ), c'est l'haqîqa, c'est-à-dire la vérité ou la vérité crutialle. Sur un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont également désignées respectivement comme l''corpse ( el jism ) et la 'moelle' , dont les comptes rendu sont totalement les copies conforme que ceux de l'écorce et du noyau ; et sans nul doute pourrait on trouver encore d'autres signes synonymes à ceux-là. Ce dont il s'agit, sous quelque désignation qu'il s'agisse, c'est toujours l''extérieur' et l''intérieur' , c'est-à-dire l'apparent et le caché.