Les sciences occultes : technique ésotérisme définition
La difficulté de l'objet mais aussi la variété de ses expositions conduisent au comprendre selon plusieurs voies d'accès : étymologie, définitions, origines, images, types.
Le terme ésotérisme est d'origine grecque et, dans l'antiquité, nommait habituellement des enseignements destinés à une petite quantité d'initiés, particulièrement dans les mystères, par exemple les mystères de Éleusis.
Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, pour nommer des formations ainsi que des courants, qui, au sein du christianisme, ils appartenaient à des milieux cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et regroupés sous l'appellation générale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On emploie également cette appelation, dans ce contexte, à propos des écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier aspect doit être discerné de la société théosophique, mouvement actuelle crée par mme blavastky. Et dont le caractère ésotérique est refusé par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.
Le taoïsme, entre autres dans son aspect concernant la recherche d'immortalité, est même vu comme se trouvant d'ordre obscur.
mystères de Éleusis
Dans la croyance grecque antique, les mystères de Éleusis faisaient partie d'un culte à secrets, d'ordre obscur, réalisé dans le temple de déméter à Éleusis ( à 20 km au sud-ouest d'athènes ). Ils sont pour déméter et son enfant perséphone.
D'après la mythologie de la grèce antique, hadès kidnappa perséphone, au cours d'une cueillette de fleurs dans les pâturages d'enna , pour la marier et la faire devenir la reine des enfers. Les rites des secrets étaient toujours effectués par les prêtres de déméter. Dont les plus connus d'entre eux, on retrouve céléos et son fils triptolème, envers qui déméter donnait le travail d'enseigner l'agriculture et de semer le blé. Ce prêtre avait également institué les Éleusinies, fêtes associées à la croyance. Parmi les autres 1ers religieux sont eumolpos, dioclès et polyxène. On fêtait le culte dans le télestérion de Éleusis. L'acteur principal de ce culte se construisait auprès de la réculte du blé et le parcours vie entreposage–semis–renaissance des récoltes. Comme la divulgation des rituels était vraiment défendue et que pas un auteur n'a trahi ce secret, aucun texte ne présente avec finesse les rites.
l'hymne homérique à déméter est la principale source de données sur les rites.
Les imposants secrets duraient neuf jours, d'après la durée de l'errance de déméter recherchant sa fille. La 1ere partie du rite débutait par une procession pendant laquelle on transportait des reliques sacrées jusque à athènes en vue des placer dans le Éleusinion, une terre d'asile au point de départ de l'acropole. Les mystes ( prétendants vénérables des mystères ) se plongeaient dans le rivage afin de se purifier. Dans le télestérion, après avoir rompu le jeûne en mangeant le kykéôn ( repas à base de blé ), le rituel pot aux roses initiatique se faisait et les mystes recevaient des révélations des adeptes et entraient dans le bonjour et à la vie après la mort.
Les participants se constituaient : des mystes ( nouveaux adeptes ) qui y participaient pour une 1ere fois pour y être initiés, des mystes adeptes y revenant une seconde fois en vue d'aller à un niveau au dessus, les époptes qui avaient atteint cet échelon et les religieux qui présidaient aux rites. Le rituel était aussi dirigée par une horde de ministres moins importants répartis en différentes classes. Les secrets étaient divulgés à tout le monde, riches comme défavorisés, hommes libres comme esclaves. La plupart des empereurs romains vont se faire par ailleurs initier à ces secrets.
Le terme ésotérisme est d'origine grecque et, dans l'antiquité, nommait habituellement des enseignements destinés à une petite quantité d'initiés, particulièrement dans les mystères, par exemple les mystères de Éleusis.
Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, pour nommer des formations ainsi que des courants, qui, au sein du christianisme, ils appartenaient à des milieux cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et regroupés sous l'appellation générale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On emploie également cette appelation, dans ce contexte, à propos des écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier aspect doit être discerné de la société théosophique, mouvement actuelle crée par mme blavastky. Et dont le caractère ésotérique est refusé par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.
Le taoïsme, entre autres dans son aspect concernant la recherche d'immortalité, est même vu comme se trouvant d'ordre obscur.
mystères de Éleusis
Dans la croyance grecque antique, les mystères de Éleusis faisaient partie d'un culte à secrets, d'ordre obscur, réalisé dans le temple de déméter à Éleusis ( à 20 km au sud-ouest d'athènes ). Ils sont pour déméter et son enfant perséphone.
D'après la mythologie de la grèce antique, hadès kidnappa perséphone, au cours d'une cueillette de fleurs dans les pâturages d'enna , pour la marier et la faire devenir la reine des enfers. Les rites des secrets étaient toujours effectués par les prêtres de déméter. Dont les plus connus d'entre eux, on retrouve céléos et son fils triptolème, envers qui déméter donnait le travail d'enseigner l'agriculture et de semer le blé. Ce prêtre avait également institué les Éleusinies, fêtes associées à la croyance. Parmi les autres 1ers religieux sont eumolpos, dioclès et polyxène. On fêtait le culte dans le télestérion de Éleusis. L'acteur principal de ce culte se construisait auprès de la réculte du blé et le parcours vie entreposage–semis–renaissance des récoltes. Comme la divulgation des rituels était vraiment défendue et que pas un auteur n'a trahi ce secret, aucun texte ne présente avec finesse les rites.
l'hymne homérique à déméter est la principale source de données sur les rites.
Les imposants secrets duraient neuf jours, d'après la durée de l'errance de déméter recherchant sa fille. La 1ere partie du rite débutait par une procession pendant laquelle on transportait des reliques sacrées jusque à athènes en vue des placer dans le Éleusinion, une terre d'asile au point de départ de l'acropole. Les mystes ( prétendants vénérables des mystères ) se plongeaient dans le rivage afin de se purifier. Dans le télestérion, après avoir rompu le jeûne en mangeant le kykéôn ( repas à base de blé ), le rituel pot aux roses initiatique se faisait et les mystes recevaient des révélations des adeptes et entraient dans le bonjour et à la vie après la mort.
Les participants se constituaient : des mystes ( nouveaux adeptes ) qui y participaient pour une 1ere fois pour y être initiés, des mystes adeptes y revenant une seconde fois en vue d'aller à un niveau au dessus, les époptes qui avaient atteint cet échelon et les religieux qui présidaient aux rites. Le rituel était aussi dirigée par une horde de ministres moins importants répartis en différentes classes. Les secrets étaient divulgés à tout le monde, riches comme défavorisés, hommes libres comme esclaves. La plupart des empereurs romains vont se faire par ailleurs initier à ces secrets.