Le esoterisme : apprentissage ; spiritualité




Le terme ésotérisme est d'origine grecque et, dans l'antiquité, avait désigné traditionnellement des éducations réservés à un petit nombre d'initiés, notamment dans les mystères, par exemple les mystères de Éleusis.

Le mot ésotérisme fut exploité, en occident, afin de nommer des enseignements toutes les mouvements, qui, au sein de l'église chrétienne, ils appartenaient à des milieux fermés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et regroupés sous l'appellation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On emploie aussi cette appelation, dans ce cadre, en ce qui concerne les écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on donne aussi le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier élément devrait être distingué de la société théosophique, mouvement moderne crée par madame blavastky. Et dont le comportement ésotérique est contesté par certains auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.

Dans la religion juive, les formations de nature obscur sont rassemblés sous la dénomination de kabbale.



Le bon sens est l'élément du grand public la mieux fractionnée ( etc. ). Ne m'étant pas satisfait des disciplines qu'on nous apprenait, j'avais parcouru tous les bouquins traitant de celles qu'on considère les plus bizarres et les plus rares ( raymond lulle, giambattista della porta, jacques gaffare ).