Le mot ésotérisme est d'origine grecque et, dans l'antiquité, désignait habituellement des éducations destinés à une petite quantité de pratiquants, notamment dans les mystères, par exemple les secrets de Éleusis.

Aujourd'hui, et en occident, le terme ésotérisme fut étendu à un chiffre considérable de courants, dont, notamments, la sorcellerie, mais l'application de ce terme à ces fonds fut contesté par des auteurs, notamment rené guénon.

Par ailleurs, beaucoup de remous sectaires se soutiennent sur des documents à teneur obscur.


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Les métaphores, les comparaisons, comme les dessins, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf originel et plein, d'un labyrinthe, d'une vache...

Guénon a son image préférée : l'écorce et le noyau ( el-qishr wa el-lobb ). Ce thème, qui est celui d'un des nombreux traités de mohyiddîn ibn 'arabî, il énonce sous une forme emblématique les comptes rendu de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés réciproquement à l'enveloppe d'un fruit et à sa partie intérieure, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce c'est la sharî'a, c-à-d le dispositif religieuse extérieure, qui s'adresse à chacun et qui est effectuée pour être accompagnée par tout le monde. Le noyau , c'est l'haqîqa, c. A. D. La vérité ou la réalité indispensable. Sur un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont aussi désignées réciproquement tels que l''corpse ( el jism ) et la 'moelle' , dont les comptes rendu sont complètement les mêmes que ceux de l'écorce et du noyau ; et sans aucun doute pourrait on trouver encore d'autres emblèmes synonymes à ceux-là. Ce dont c'est, sous quelque désignation que ce soit, c'est toujours l''extérieur' et l''intérieur' , c-à-d l'apparent et le caché.