Le terme ésotérisme a été exploité, en occident, afin de désigner des enseignements ainsi que des mouvements, qui, dans l'église chrétienne, ils appartenaient à des environnements fermés nonnés, pour la même raison, d'ésotériques et regroupés sous la dénomination globale d'ésotérisme catolique auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien.

Le bouddhisme se compose de quelques branches obscurs ( vajrayâna tibétain, shingon japonais ) préconisant des initiations afin d'arriver au nirvâna. Le bardo thödol des tibétains est un bouquin obscur qui puise ses fondements dans l'idéologie indienne du samkhya.


Aujourd'hui, et en occident, le mot ésotérisme fut étendu à un chiffre colossal de courants, dont, par exemples, la sorcellerie, mais l'application de ce mot à ces sujets a été refusé par des auteurs, particulièrement rené guénon.

Par ailleurs, beaucoup de remous sectaires se soutiennent sur des textes à teneur obscur.


esotérisme et spiritualité

Les lectures obscurs du monde ou des contenues sacrés sont venues au monde du besoin de dire des sentiments de nature spirituel à partir de paroles. Comme aucun mot du vocable banal n'est conforme à ce défi, la lecture obscur requière des paraboles, à des images ou bien à des symboles, plus que à la culture théologique, ceci par obligation plus que par volonté de cacher les choses.

Le plomb et l'or sont alors respectivement les signes de l'homme brut et de l'homme régénéré. Une personne attirée par l'unique appât du gain ne pouvait affirmer à la connaissance spirituel, pendant qu'une simple autre, envers qui la perception symbolique parlait, pouvait pénétrer dans l'éducation du maître. Au xve siècle, la richesse de gilles de rais y passa.